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mon combat continu

Courrier à la Haute Autorité de la Santé~

~Objet : Demande d’étude sur traitement

CHOUZY SUR CISSE le 30 aout 2016

Madame, monsieur,

Atteint de la maladie de Parkinson, diagnostiqué depuis Février 2010, suivant un traitement médicamenteux qui me convenait parfaitement jusqu’au moment de prise de génériques, suite aux ruptures dû au non réapprovisionnement des laboratoires.

Suite à ces prises, ayant fait trois malaises en quinze jours, ainsi que divers effets secondaires.

De ce fait étant dans l’obligation de reprendre mon traitement initial avec les difficultés pour se réapprovisionner, mon état de santé est redevenu stable, malheureusement très lentement et étant dans l’obligation d’augmenter le dosage journalier.

Suite à ce problème, je suis intervenu auprès de la ministre de la santé, madame MARISOL Touraine, cette dernière ne m’ayant pas répondu.

Afin de combattre cette maladie, pratiquant le vélo comme activité physique, qui je confirme permet de ralentir l’évolution en complément de mon traitement, j’ai décidé d’aller de CHOUZY SUR CISSE à PARIS à vélo soit 250 kms afin de déposer une pétition au ministère de la santé « Non aux génériques pour les maladies neurodégénératives »

. Ayant déposé cette pétition de 400 signataires, le 9 avril 2016 sans aucune nouvelle à ce jour, ce qui me désole.

Tenant à vous préciser que je ne suis pas contre les génériques, mais que ceux-ci ne soient pas prescrits systématiquement

En effet, il est reconnu que pour les maladies demandant des traitements à marge thérapeutique très étroite, ceux-ci ne doivent pas être changés, telles que pour les traitements du diabète, tyroïde, épilepsie.

Ces propos émanent des paroles même de la présidente des pharmaciens du Loir et Cher JT 19/20 France3 du 20 janvier 2016.

Extrait d’un article paru le 01/09/2012 sur la Nouvelle République.

Exceptions au cas par cas Afin d'atteindre cet objectif, la sécurité sociale compte sur un argument financier. Désormais, si le patient refuse le médicament générique, il devra faire l'avance du tiers payant. Il devra payer la « part sécu » du médicament de marque et se faire rembourser ensuite. En cas d'acceptation du générique, les dispenses de frais seront faites. Chez les pharmaciens, la campagne d'information a commencé. « Globalement, tous les pharmaciens en ont parlé à leurs assurés », détaille Pascale Asou, pharmacien à Onzain et membre de la commission paritaire des pharmaciens. Des exceptions existent « le médecin pourra écrire manuscrite ment " non substituable " en face du médicament, mais ça devra être médicalement justifié », détaille Carole Blanc. Ainsi, le cas connu des traitements d'hormones de la thyroïde a été sorti du dispositif, ces traitements « à marge thérapeutique très étroite » ne doivent en effet pas être changés, du générique vers le médicament de marque ou l'inverse. Mais il n'existera plus d'ordonnance de confort. « On constate des stratégies commerciales et des résistances injustifiées à la substitution. »

Après diverses recherches, m’ayant orienté vers votre agence, seule compétente à ce sujet.

Pour cela, je me permets de vous envoyer ce courrier, afin que vous puissiez effectuer une étude au sujet du traitement de cette maladie, Parkinson, demandant un traitement à marge thérapeutique très étroit et que par ce constat, celui-ci ne soit pas changé.

La seule vraie demande que je souhaiterai est que soit reconnue la maladie de Parkinson dans les mêmes conditions que les pathologies cité précédemment, m’en remettant à vous, seule agence compétente, voulant rester dans une situation sereine, constructif et pacifique. .

Croyant à l’intérêt que vous porterez à ma requête, restant à votre entière disposition, et dans l’attente de votre réponse recevez, madame, monsieur mes sincères salutations

Alain MULTEAU

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